Kaya Güner
Pranginois à part entière depuis l'an 2000, j'ai le privilège d'avoir vu grandir quatre générations de famille réunies dans le village, les attaches sont solides. Mais cet attachement date d'il y a plus longtemps, lors d'une mémorable représentation des "Chasseurs en Exil" à l'ancienne salle communale avec l'honneur de croiser Jean-Daniel Mottier (Didi) et les membres du TAP pour qui j'ai une admiration profonde.
Mes occupations professionnelles (Théâtre Boulimie, RTS, Les Dicodeurs…) parfois m'éloignent mais le fait de retrouver un endroit où l'on se sent bien me révèle à chaque fois que Prangins est véritablement un petit coin de paradis qu'il faut à tout prix préserver.
Aujourd'hui jongler avec la scène culturelle et m'engager dans l'arène politique c'est avant tout pouvoir œuvrer dans l'intérêt de tout.e.s et privilégier au mieux le vivre ensemble.
Dans une période où le bonheur de l'existence a laissé sa place aux incertitudes anxiogènes au quotidien, il est vital d'agir rapidement et trouver les réponses aux urgences climatiques, économiques et sociales. Prangins le mérite, méritons Prangins.